Les origines de Ma Vie Magique
Une très très longue introduction à ma vision du monde… et en quoi je peux aussi vous aider. Préparez un thé vert, un smoothie à la mangue ou un cachet d’aspirine et… savourez ! 🙂
A l’origine
Comme vous avez pu le découvrir en lisant mon histoire, je me suis passionnée pour la psychologie, le développement personnel et les neurosciences en premier lieu pour moi, pour me permettre d’être plus heureuse dans la vie.
Assez vite, j’ai commencé à comprendre combien le bonheur peut être contagieux et source d’inspiration pour les autres. A constater que certaines trajectoires de vie avaient échoué juste à cause de manque de connaissances, d’un manque de soutien, et/ou de mauvais exemples autour d’eux, et qu’il suffisait parfois d’une bonne rencontre ou d’un livre pour leur faire totalement changer de vision d’eux-mêmes, de leur potentiel, du monde et de la vie.
J’ai vu des vies gâchées par manque de confiance en soi ou en la vie, par trop de peur, pas manque d’optimisme ou de connaissance d’autres options. J’ai vu des personnes tomber dans l’alcool juste à cause d’une méconnaissance totale de choses aussi simples que les bases de réussite d’un couple. A l’inverse, j’ai vu des personnes sans talents ou atouts particuliers réussir leur vie et devenir le meilleur de ce qu’ils pouvaient être. J’ai la certitude que même nés dans un mauvais environnement de départ, on peut transformer son court parcours sur notre belle planète en une aventure… magique. C’est le mot qui m’est venu à l’esprit le jour où j’ai ressenti pour la première fois le sentiment d’avoir atteint le bonheur absolu, un sentiment de paix, de sérénité et d’amour total, le genre qui vous donne un sourire béat sur les lèvres – je venais de comprendre ce que certaines religions avaient décrit sous le mot “extase”… Il n’y avait ce jour-là rien de spécial, juste tous les bons ingrédients réunis : des amis, un paysage splendide, une vie qui va bien, qui a du sens, et un état d’esprit complètement tourné sur le moment présent et tout ce qui m’entourait de beau.
J’ai commencé ma vie professionnelle en tant que chargée de communication pour une organisation publique aux USA, puis comme graphiste/DA en France. Ces choix ont par la suite pris tout leur sens : l’envie d’améliorer la communication entre les hommes, et de rendre le monde plus beau… Je me suis passionnée pour la communication Web, domaine dans lequel je travaille depuis 15 ans, parce que sans le voir, toujours et encore… la passion pour la connexion entre les hommes et la diffusion de l’information et de la connaissance.
En 2006, la vie m’a mise à l’épreuve : deuils, licenciement, conflits, maladie, dépression ; j’ai vite compris que ce n’était pas un hasard et que j’avais besoin d’orienter ma vie dans le sens de mes valeurs. La communication n’avait en fait de sens que si elle était éthique et responsable ; la nécessité d’un développement durable et d’une nouvelle écologie de vie, la remise en question de plus en plus évidente de notre mode de fonctionnement basé uniquement sur la consommation de masse et le matérialisme, et pas sur le bonheur, tous ces sujets émergeaient de plus en plus dans les médias et dans mon esprit. Je me suis donc spécialisée dans le business durable et la communication responsable et ai créé mon entreprise, Galaxy Factory.
Constats et réflexions
Je me suis vite rendue compte que ces sujets séparés étaient pour moi complètement liés.
Que par exemple la constante augmentation des cas de dépression et de burn-out résistait aux antidépresseurs et n’étaient pas guéris par le shopping compulsif.
Que la vie citadine nous éloignait d’un mode de vie simple et sain, dont nous avions besoin pour être pleinement heureux.
Qu’on oubliait l’importance de l’essentiel, à savoir les bases de la santé physique et mentale, qui amènent au bonheur, à l’équilibre, à l’amour de soi et des autres, et donc aussi au respect de son environnement.
Que le modèle de vie occidental actuel était à bout de souffle et que les hommes souffraient d’une perte de sens, de repères. Ce qui ne veut cependant pas dire que tout est à jeter, bien au contraire.
Je réalise beaucoup de veille et d’études de tendances sur les idées et valeurs émergentes, et le concept de “Nouveau Monde”, encore timide, a commencé à apparaître. Ne désignant plus seulement les continents américain et australien, mais une redéfinition du monde de demain, et pas seulement en termes d’écologie et de développement durable, de protection de la flore et de la faune, d’énergies renouvelables, d’habitat et d’alimentation sains, mais bien au-delà : une nouvelle façon de voir la vie.
Ces mêmes personnes qui se questionnent sur leurs habitudes de consommation se sont mis à remettre en question l’ensemble de leur vie, et l’importance des choses : Pourquoi et pour quoi travaille-t-on ? L’argent est-il si important dans la réussite d’une vie ? Trouve-t’on le bonheur dans l’individualisme prôné dans les années 80, ou est-on plus heureux ensemble ?
Les termes d’économie collaborative et de décroissance sont apparus, désignant des tendances grandissantes de remise en question de toute une vision du bonheur, de la réussite, de la richesse ; l’usage devient plus important que la propriété, et le plaisir d’être ensemble plus nourrissant que l’envie d’être indépendant.
Un nombre grandissant de personnes recherchent le bonheur avant la réussite matérielle, ce qui n’est bien sûr pas incompatible, sauf si celle-ci demande le sacrifice de ce dont le corps et l’âme humaine ont besoin pour être heureux. Preuve en est du succès inattendu des livres et des émissions dédiés à la … philosophie. Le monde devient pour certains menaçant, ou instable, ou difficile et stressant, voire écrasant ; les humains ont de plus en plus de confort matériel, mais déclarent de plus en plus souffrir de stress, de solitude, de perte de sens, de valeurs et de repères. Les philosophies et les pratiques orientales comme le yoga et le bouddhisme remportent un franc succès en Occident, on voit de plus en plus d’Occidentaux se tourner vers les médecines dites douces et les thérapies alternatives, la médecine chinoise et ayurvédique, et même le chamanisme prend racine en Europe… Il aurait été difficile d’imaginer il y a 20 ans le type d’offres thérapeutiques existant aujourd’hui en France dans la guérison des troubles psychologiques… (1)
Pour résumer, un nombre croissant d’humains a maintenant pris conscience que la croissance économique, la consommation et le matérialisme n’apportent pas automatiquement le bonheur personnel et l’impression d’avoir réussi sa vie.
Ce n’est pas une critique : comme l’usage du charbon pour se chauffer ou des carburants fossiles pour se déplacer, l’homme a développé des techniques et des idées, des conceptions du monde « parfait » sans forcément avoir compris les inconvénients cachés et les conséquences indirectes de leurs créations, vues comme un progrès évident au départ.
Cela peut être simple et rapide à comprendre : quand Londres en 1952 connaît le « Grand Smog » et voit 12000 de ses habitants mourir, personne n’imaginait à l’époque que ce mode de chauffage qui avait sauvé tant de vies pouvait aussi provoquait aussi la mort. Mais en 2016, quand Shanghai étouffe sous la même pollution, due au développement anarchique des industries et du nombre de véhicules, aux fumées toxiques, à la pollution des eaux, et engendre une cascade de maladies respiratoires et de décès, l’homme se demande pourquoi il continue ainsi, et remet tout son mode de vie (et de pensée) en question. Toutes les personnes avec qui j’ai collaboré dans une optique de développement durable de leur activité ont manifesté en parallèle des bouleversements personnels. J’ai eu la surprise de voir des entreprises, des villes et même des régions poser ce concept dans leur projet d’avenir. En voici un exemple avec le projet Auvergne Nouveau Monde.
A l’heure de la mondialisation, la crise économique et financière, l’extension d’Internet et des réseaux sociaux ou encore la politique de décentralisation, le monde change. Il devient plus sensible à la simplicité, se veut plus équilibré, plus humain, soucieux de la préservation de l’environnement et de l’épanouissement de l’homme. Un autre modèle de développement porteur d’une nouvelle philosophie de vie et de travail voit le jour : un modèle de société plus équilibrée qui remet l’humain au cœur de son projet et oscille entre le temps pour soi & le temps pour les autres, la tradition & l’innovation, la protection & l’ouverture… L’Auvergne veut incarner ce monde idéal et peut le faire grâce à des valeurs profondément ancrées dans son identité qu’elle a su préserver – elle veut en faire sa ligne guide, son projet de société.
Je croise beaucoup de personnes en recherche d’une nouvelle voie, pour vivre mieux, plus sainement, ce qui aboutit automatiquement à des questionnements philosophiques, existentiels. « Pourquoi et pour quoi est-ce que je travaille ? », « Qu’est-ce que je veux vraiment dans ma vie ? », « Comment trouver le vrai amour ? », « J’ai plein d’amis sur Facebook, et pourtant je me sens seul », «Je pense avoir réussi dans la vie et pourtant je ne me sens pas heureux », « J’ai l’impression de courir tout le temps », « J’ai l’impression de ne jamais être assez bien », « Je me sens inutile », « Je veux changer de vie… ».
Ce n’est pas nouveau
L’être humain se pose des questions sur le sens de la vie depuis la nuit des temps, dès qu’il a commencé à avoir assez de temps pour… réfléchir. Assez de nourriture autour de lui et assez de protection face aux menaces de la nature pour penser, et développer ce fameux cortex préfrontal qui nous a différenciés de ces autres êtres que nous appelons les « animaux ».
Au point d’en oublier que nous sommes… des animaux.
Et que 90% de nos actions sont en fait inspirées par nos instincts primaires. L’homme a développé très tôt, dès la préhistoire, des croyances mystiques, puis des religions, créé des dieux et des mythes, pour essayer de donner du sens à son existence. L’histoire de la philosophie (littéralement, « l’amour de la sagesse » – bizarrement, je m’appelle Sophie…) commence en Occident dans le monde de l’Antiquité grecque, vers le VIIe siècle av. J.-C., soit plus de 2700 ans. Mais on imagine que l’Orient (notamment en Inde, en Chine et en Iran) avait déjà connu bien avant la formalisation de la « recherche de soi » des maîtres penseurs et des écoles qu’on peut qualifier de « philosophiques ». Je suis persuadée qu’il y a 20 000 ans, les chasseurs-cueilleurs devenus éleveurs, sculpteurs, peintres et bâtisseurs posaient déjà des « règles de vie » et des réflexions sur l’amour, la vie, la mort, les états d’âme.
Bref, on en tire deux conclusions : nous ne sommes pas les premiers à réfléchir à notre vie et à rechercher le bonheur, et… de nombreux êtres humains avant nous, certains suffisamment sages pour être encore étudiés aujourd’hui (vous avez forcément déjà entendu une fois dans votre vie les noms de Confucius ou de Socrate), ont déjà réfléchi à la question du bonheur et la recherche de soi.
Ce serait bien dommage de se croire les premiers, et les meilleurs.
C’est rassurant aussi : le fait d’être humain, « Homo Sapiens Sapiens » moderne, entraîne automatiquement l’existence des émotions, des peines, des doutes, des sentiments de solitude, de perte et de chagrin, des questionnements sur soi, les autres, la vie, l’amour, la mort. Par contre, on a aujourd’hui acquis une longue expérience de ces réflexions, accumulé de nombreuses pistes de réponse, formalisé des disciplines telles que la psychologie et la psychiatrie, et énormément avancé dans le domaine de l’étude du cerveau et les neurosciences.
Mes sources de connaissance
Tous ces outils, je les étudie et les utilise pour moi-même, pour ma propre recherche de mon propre bonheur, mais aussi pour mon activité professionnelle. Je m’inspire aussi de l’analyse des médias, de la sociologie et des tendances et styles de vie passés et contemporains. La pensée et la connaissance humaine a pu s’inscrire sur des papyrus, puis des livres, et Internet a permis de collecter un très grand nombre de données, mais aussi de connecter un très grand nombre d’humains entre eux. D’ici à 2017, la moitié de la population mondiale aura accès à Internet, et si Google réussit à mettre en place son ambitieux projet de connexion internet par ballons stratosphériques, sachant que 10 milliards d’appareils seront connectés à Internet en 2016, on pourra dire qu’une immense majorité d’êtres humains seront reliés entre eux… et pourront délivrer leurs connaissances et leurs réflexions… et s’entraider…
Encore deux données qui vont vous donner le tournis :
- Nous sommes 7 400 935 815 personnes sur la planète Terre ce jeudi 21 juillet 2016 à 18 h 06 min et 30 s. (populationmondiale.com)
- Avant nous, 80 milliards d’hommes, en tout, seraient nés sur notre planète. Toutefois, ce résultat est très approximatif et pourrait varier de 50 à 200 milliards… (Le point de départ est placé 200 000 ans avant Jésus-Christ, à la naissance de notre espèce).
Imaginez le nombre de cerveaux qui ont réfléchi avant nous à toutes ces questions… et trouvé des réponses. Ces réponses, elles existent déjà, en grand nombre, et elles sont vérifiées depuis une cinquantaine d’années par de nombreuses expériences et études statistiques menées par des sociologues, psychologues et psychiatres partout dans le monde. Grâce aux nouveaux réseaux de communication et de transfert de l’information, on a toutes les cartes en main pour vivre dans un monde plus beau et plus sain.
On a tout pour être heureux !
En tout cas, on n’a jamais eu autant d’outils, de temps libre et de connaissances pour réussir au mieux sa vie et pouvoir être « le meilleur de soi-même ».
Le problème, c’est de… d’avoir le courage de se poser, de prendre du recul, et de se remettre en question. Et d’accepter de consacrer du temps et d’investir dans la construction de son bonheur et de sa réussite personnelle. Prendre le temps de s’arrêter, avoir le courage de se mettre en mode « pause » sur les distractions, éteindre la télévision, et poser le smartphone. Remettre en question la course quotidienne entre le travail, les factures, les enfants, les sorties, les loisirs, qui participent à la vie bien sûr !… mais qui peuvent nous faire oublier l’essentiel, nous perdre dans les détails. Avoir la force de moins se préoccuper du prochain modèle de voiture que l’on veut acheter, des derniers potins chez les stars de téléréalité, des soldes à venir, des sollicitations sur Facebook, Twitter, Instagram, Pinterest, Snapchat, … et… poser sa vie un temps pour la regarder d’un œil neuf et savoir la remettre en question avant qu’il ne soit tard – voire trop tard. On peut le faire à tout moment, de la journée, de l’année, et de la vie, il suffit de le décider. Se rendre compte que le rythme de la vie moderne peut nous aliéner, et nous faire oublier ce qui est le plus important pour nous – c’est vrai même pour le plus intelligent d’entre nous. Juste par manque de temps pour prendre du recul et questionner ce que l’on vit, où l’on vit, ce que l’on fait de notre temps, quel travail on exerce, quelle vie de couple ou de famille on a choisi… et parce qu’on est toujours moins objectif et éclairé sur soi-même que sur les autres.
Mon rêve, ma vision, mes valeurs et mon ambition
Mon rêve est tout simple 😀 : rendre le monde plus heureux, et aussi beau qu’il puisse l’être. Et pour moi cela passe par le bonheur et la réussite personnelle de chacun. Car quand on est heureux, que “son tonneau est rempli”, on devient plus respectueux des autres et de son environnement, on est plus généreux et plus solidaire. On s’ouvre aux autres, on a plus confiance, on apporte au lieu de chercher à prendre. On a plus d’espoir et donc de volonté pour changer les choses, même si le travail à fournir est immense. On est prêt à faire de petits sacrifices et renoncements si cela peut aider la collectivité et sauver la planète, car on a déjà beaucoup.
Ma Vie Magique est conçu comme une école de la vie, où l’on vient s’inspirer, se ressourcer, se remotiver, se poser les bonnes questions, et trouver des pistes de réflexions, des outils, des techniques – et des réponses.
J’accorde beaucoup d’importance à l’humilité, au courage, à la sincérité envers soi-même et envers les autres, à l’éthique, à la capacité à changer et à s’améliorer, à la confiance, à la capacité à tenir ses engagements, à l’importance de l’auto-dérision, de l’humour et de la bonne humeur.
Ma méthodologie
- Je puise mes connaissances dans les domaines suivants : philosophie, psychologie, développement personnel, sociologie, neurosciences, religions et spiritualité, médias, tendances et styles de vie.
- Je m’inspire plus de la vision nord-américaine (et plus largement, des cultures anglo-saxonnes) du développement personnel : je suis plus intéressée par l’action que la réflexion, par le pragmatisme et le réalisme que par la théorie, par le présent et le futur que par le passé, et en règle générale par la psychologie positive et le travail sur l’optimisme, la volonté et la confiance en soi.
Quelques information supplémentaires sur moi :
- Je suis titulaire d’une Maîtrise (Master I) en Communication Sociale et Commerciale de Paris 4 Sorbonne, d’un DEA (Master II) en Sociologie et Civilisation Nord-Américaine de Lille 3 Charles de Gaulle, d’un Master of Sciences (Master II) en Communication and Information Networking (Communication et Diffusion de l’Information) de FHSU (USA) et diplômée du CELSA.
- Je suis une “zèbre“, un terme générique introduit par la psychologue Jeanne Siaud-Facchin dans son ouvrage Trop intelligent pour être heureux ?. Une HQI (Haut Quotient Intellectuel), ou encore une “adulte surdouée”, comme 2% de la population mondiale. Un atout de naissance, qui offre aussi une grande probabilité de souffrances psychologiques… et une spécificité qui va bien au delà du niveau de quotient intellectuel. Je participe et anime des groupe de paroles et des forums de HQI, et étudie cette spécificité depuis quatre ans.
- Je suis aussi, pour compléter le tableau, une “scanneuse”. C’est à dire, selon la définition donnée par la psychologie, “une personne ayant de nombreux centres d’intérêts et compétences”. On parle aussi de polymathe : “La polymathie est la connaissance approfondie d’un grand nombre de sujets différents, en particulier dans le domaine des arts et des sciences.”(Wikipedia). Je participe aux “Afterworks Scanneurs” de Lille.
- Je suis fan de rock, de hip hop et de musique électronique, de danse hip hop, de design graphique, de photographie et de tous les animaux. Je suis convaincue que la musique est essentielle dans la vie, aide énormément à être heureux et peut permettre de venir à bout de bien des moments de souffrance morale. De même qu’une longue balade dans un magnifique paysage naturel. Ou un marathon crème glacée + visionnage de l’intégrale de la série “New Girl” :-). Parce que le bonheur, la “positive attitude”, le sourire aux lèvres, ça s’entretient tous les jours et qu’il faut savoir se faire plaisir… Le plaisir, ça fait partie d’une bonne philosophie de vie !
(1) … en voici la liste ! Cliquez sur le nom pour en obtenir la définition. Merci à Psychologies.com !
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